ALGER,Sans le savoir
Tes mille faveurs, je ne les voyais guère
Si je t'aimais,c'était sans le savoir
J'étais heureuse divinement
Si protégée si entourée
mais ces joies-là que tu m'offrais
je les avais sans le savoir
Aujourd'hui,elles me sont retirées
Aujourd'hui seulement je sais
Combien riche je suis
de ces joies d'antan.
Peut-être le bonheur présent n'existe pas
Mais j'ai toute cette douceur triste du souvenir
Et je te remercie ALGER
Un peu trop tard ,pardonne moi
De mes grandes joies.d'autrefois
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